Il y a à peu près un an, je vous présentais Ça a commencé comme ça, le troisième roman d’Angéla Morelli qui m’avait réellement enthousiasmé. Juste quelqu’un de bien, fruit d’une longue réflexion et d’un projet qu’Angéla Morelli tenait tout particulièrement à mener à bien, m’a totalement conquise. J’ai trouvé ce roman d’une grande finesse, d’une grande psychologie, mais également drôle et original avec des personnages hauts en couleurs, hors du commun. Il m’a procuré à la fois un très agréable moment de lecture et de réflexion, sur le sens de la vie, de l’amour, de l’amitié, sur les liens qui nous lient aux gens.
L’histoire :
À trente-quatre ans, Bérénice n’a plus aucune certitude. Tout ce qu’elle croyait savoir sur la vie a pris l’eau, elle multiplie les amants mais ne tombe jamais amoureuse et, cerise sur le gâteau, voilà qu’elle n’arrive plus à écrire une ligne, alors que l’écriture est sa raison d’être. Heureusement, elle peut compter sur les trois femmes de sa vie : sa mère et sa grand-mère, avec qui elle partage une jolie maison cachée au cœur de Paris, et Juliette, son amie d’enfance. Mais ça ne suffit plus. Bérénice n’a donc plus le choix. Elle doit enfin affronter les questions qu’elle a toujours refusé de se poser et accepter de faire une place… aux hommes de sa vie. En commençant par son père, dont elle ne sait rien, et par Aurélien, un homme surgi du passé, qu’elle vient de croiser et qui ne l’a pas reconnue…
Infos pratiques :
Editions Harlequin. 14,90 € (Ebook : 9,99 €)