Malavita, de Luc Besson, avec Robert De Niro, Michelle Pfeiffer…

120X160-MALAVITA_famille_bdSYNOPSIS :
Fred Blake alias Giovanni Manzoni, repenti de la mafia new-yorkaise sous protection du FBI, s’installe avec sa famille dans un petit village de Normandie.
Malgré d’incontestables efforts d’intégration, les bonnes vieilles habitudes vont vite reprendre le dessus quand il s’agira de régler les petits soucis du quotidien…

Notre avis :

Nous avons beaucoup aimé cette famille de mafieux (et leur façon de régler leurs problèmes !!!), incroyablement interprétée par Robert De Niro, Michelle Pfeiffer, Dianna Agron et John D’Leo. Un beau divertissement.

 

Eyjafjallajökull, de Alexandre Coffre, avec Dany Boon et Valérie Bonneton

Eyjafjallajkull_afficheSYNOPSIS :
Pour les voyageurs du monde entier, l’éruption du volcan islandais Eyjafjallajökull est un coup dur. Pour Alain et Valérie, c’est une catastrophe. Car pour arriver à temps dans le petit village de Grèce où se marie leur fille, ce couple de divorcés, qui se voue l’un l’autre une détestation sans borne, va être amené par la force des choses à prendre la route ensemble.

Notre avis :

Nous avons beaucoup ri des situations cocasses qui arrivent à ce couple de divorcés qui se détestent. Une excellente comédie !

 

The Mortal Instrument : la cité des ténèbres, de Harald Zwart, avec Lily Collins, Jamie Campbell Bower et Jonathan Rhys Meyers.

THE-MORTAL-INSTRUMENTS_120x176_VISAGESSYNOPSIS :

New York, de nos jours. Au cours d’une soirée, Clary, 15 ans, est témoin d’un meurtre. Elle est terrifiée lorsque le corps de la victime disparaît mystérieusement devant ses yeux… Elle découvre alors l’existence d’une guerre invisible entre des forces démoniaques et la société secrète des Chasseurs d’Ombre. Le mystérieux Jace est l’un d’entre eux. A ses côtés, Clary va jouer dans cette aventure un rôle qu’elle n’aurait jamais imaginé.

Notre avis :

Un film sympa à voir avec vos ados ! Ils auraient juste pu nous épargner le passage où l’on nous apprend –oh surprise- que le grand Jean-Sébastien Bach, musicien exceptionnel de l’époque baroque, était en fait un chasseur d’ombre… Je n’ai pas pu retenir mon fou rire !

 

Au bonheur des ogres, de Nicolas Bary, avec Raphaël Personnaz, Bérénice Béjo…

SYNOPSIS :
Dans la tribu Malaussène, il y a quelque chose de curieux, de louche, d’anormal même diraient certains. Mais à y regarder de près, c’est le bonheur qui règne dans cette famille joyeusement bordélique dont la mère sans cesse en cavale amoureuse a éparpillé les pères de ses enfants. Pour Benjamin Malaussène, bouc émissaire professionnel et frère aîné responsable de cette marmaille, la vie n’est jamais ennuyeuse. Mais quand les incidents surviennent partout où il passe, attirant les regards soupçonneux de la police et de ses collègues de travail, il devient rapidement vital pour le héros de trouver pourquoi, comment, et surtout qui pourrait bien lui en vouloir à ce point-là ? Benjamin Malaussène va devoir mener sa propre enquête aux côtés d’une journaliste intrépide surnommée Tante Julia pour trouver des réponses.

Notre avis :

J’avais lu il y a quelques années le roman de Daniel Pennac Au bonheur des ogres et l’avais beaucoup apprécié. J’étais donc enchantée de constater qu’il allait être adapté au cinéma. Et bien, j’ai vraiment été très déçue, malgré des acteurs excellents et des décors fidèles au roman, la sauce ne prend pas. Quant à mon mari –qui n’avait pas lu le livre-, il a tout simplement vécu un calvaire d’1h30. Et si tout simplement l’univers de Pennac ne devait pas être transcrit sur grand écran ?